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Questions récurrentes (FAQ) |
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Lisez cette page tranquillement et dans le calme après que vous aurez acquis quelque expérience pour l'établissement de pages Web et que vous en serez arrivé à ce stade du développement auquel viennent à l'esprit de nombreux petits et grands souhaits. Ces désirs sont à vrai dire tout à fait normaux. Certains d'entre eux et les questions correspondantes sont "typiques" et sont posées incessamment. Ces questions sont rassemblées sur cette page. Ce rassemblement n'a pas la prétention d'être exhaustif. Ce ne sont pas toutes les questions imaginables qui sont réunies (Cette page serait alors la page la plus longue sur la toile) mais seulement celles qui sont posées vraiment. Si vos questions s'y trouvent, c'est bien sûr une question de chance.
La réponse à ces questions est donnée avec de brèves remarques, le cas échéant avec des exemples et dans la mesure du possible avec des liens à des pages de la présente documentation. C'est dans cette mesure que cette page est appropriée pour la navigation, à savoir pour la navigation "orientée sur les problèmes".
Quand vous avez des questions qui ne figurent pas ici, lisez la partie concernant le 
support. Vous y apprendrez où et comment poser vos questions sur Internet.
C'est intentionnellement que ces questions ne sont pas triées par langages et technologies mais par "zone de problèmes". Car nombre de réponses se réfèrent à plusieurs technologies. Certaines questions trouvent tout simplement leur réponse parce que l'on ne savait pas qu'une autre technologie que celle dont on attendait d'abord la solution, était nécessaire.
Certains des "souhaits" peut être naturels du point de vue du débutant, sont pourtant tout à fait "indésirables" dans la pratique du Web, parce que vous irriteriez en les les appliquant les viiteurs de vos pages. Ètant donné que ce ne peut être dans vos intentions d'irriter vos visiteurs (ils ne reviennent jamais), l'attention sera attirée aux endroits correspondants.
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C'est une petite propriété supplémentaire, connue sous le nom de Favicône, introduite avec la version 5.0 de l'Explorer Internet mais qui n'est pas affichée par la plupart des autres navigateurs. Ce genre de favicône peut être ensuite affichée quand un utilisateur adopte un largeur dans ses favoris et que cette page est reliée avec une favicône. Celle-ci est alors placée devant l'élément dans la liste des favoris et apparaît dans la ligne d'adresse à l'affichage de la/des page(s).
La favicône elle-même est un petit graphique qui doit exister dans le format icône de Windows (fichiers *.ico) et avoir une taille soit de 32x32 soit de 16x16 pixels. Pour créer de tels graphiques, vous avez besoin d'un programme graphique, qui peut sauvegarder les graphiques dans le format ICO.
La liaison entre une page Web et un graphique favicône peut être créée de deux façons: soit vous placez le graphique dans le répertoire racine d'un domaine sous le nom de fichier invariable favicon.ico (en minuscules) de façon à ce que le schéma de l'URI donne: http://www.votre-nom-de-domaine.xy/favicon.ico. Dans ce cas la favicône est reconnue automatiquement, dès qu'un utilisateur ajoute une page quelconque de ce domaine à ses favoris. L'autre possibilité consiste à noter la chose suivante dans l'entête d'un fichier HTML:
<link rel="shortcut icon" href="fichier.ico">.
Pour la mention de href= prévalent les règles pour référencer en HTML. Dans ce dernier cas le nom du fichier importe peu, seule l'extension de fichier doit être .ico.
Vous trouverez tout ce qui touche au thème des favicônes sur la page 
Favicon.de
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C'est une des questions qui ne sont pas du tout bien vues. Et voici déjà la réponse: il n'existe aucune possibilité efficace d'empêcher que des visiteurs puissent voir le texte source de vos pages Web.
Ce désir est réprouvé en général parce que le Web repose sur des langages en texte clair et documentés comme HTML, CSS ou bien XML. Il n'y a donc rien qui justifie de cacher car tous ceux que ça intéresse peuvent aller chercher les connaissances correspondantes sur la toile dans les documents et documentations.
De plus ce souhait provoque des réactions énervées parce qu'il est une preuve d'ignorance. Il vous faut vous imaginer que les pages Web que vous tenez à disposition sur Internet sont transmises à l'ordinateur de l'utilisateur qui les appelle. Les données n'arrivent pas seulement dans la fenêtre d'affichage du navigateur, mais celui-ci sauvegarde aussi les données sur le disque dur de l'utilisateur dans sa mémoire cache. Tout utilisateur peut avec quelques connaissance ou avec l'aide de programmes spéciaux d'"exploration du cache" parcourir les données qui ont atterri sur son disque dur et voit le texte source qu'elles renferment, le copier etc...
Il est bien compréhensible le souhait de ne pas vouloir être "piraté" par les autres utilisateurs qui copieraient simplement les JavaScripts ou autres que vous avez établis péniblement, et profiteraient ainsi de votre travail sans que vous en profitiez. Comme déjà dit vous ne pourrez pas vraiment empêcher la copie. Mais votre propriété intellectuelle est garante de votre droit. Certes vos pages Web sont de toute façon protégées par le droit d'auteur à faire valoir, cependant pour donner force de preuve à la chose et opposer un obstacle plus grand aux pirates potentiels, vous pouvez insérer des remarques dans le code source. Notez par exemple un commentaire HTML bien en haut du fichier, par exemple directement après le repère d'ouverture <html>, et indiquez dans le texte du commentaire ce à quoi vous vous opposez.
En ce qui concerne le texte source JavaScript, vous pouvez par exemple le sauvegarder dans un fichier distinct JavaScript. Ainsi les utilisateurs inexpérimentés tout au moins n'accèderont-ils pas si facilement au texte source.
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Ceci va dans le même sens que la question relative à la protection du texte source. Quand un utilisateur voit un graphique dans son navigateur Web, il n'a plus du tout besoin à l'aide du menu contextuel et de "enregistrer sous" de le copier sur son ordinateur, parce qu'il s'y trouve depuis longtemps - à savoir dans le cache du navigateur. L'option"enregistrer sous" du menu contextuel est conçue pour les utilisateurs pas très futés, qui désirent peut être contempler encore le graphique hors connexion dans le calme. Des fabricants de pages expérimentés qui ont réellement l'intention d'utiliser un graphique étranger pour leur propre page, n'ont pas besoin de cette option du menu contextuel. Ne vous donnez donc pas cette peine. Même dans ce cas prévaut: vous ne pouvez pas empêcher techniquement la copie et le piratage de vos graphiques créés vous même, mais juridiquement vous avez le droit pour vos graphiques établis par vos soins, de prétendre à la protection de la propriété intellectuelle. Ce n'est de toute façon pas tout à fait simple de faire valoir ce recours juridique. Car on peut se trouver dans le cas de votre parole contre celle de l'autre, si ce dernier affirme que c'est l'inverse et que vous l'avez piraté. C'est pourquoi, il existe la possibilité d'implanter ce qu'on appelle des filigranes dans les graphiques. Pour cela un texte est selon une certaine clé, caché dans le salade de bits binaire du fichier graphique, par exemple un texte qui vous identifie comme créateur du graphique (le procédé est désigné comme étant de la Stéganographie). Dans le graphique proprement-dit, on ne remarque rien, cependant en cas de doute, vous pouvez au vu de ce filigrane, prouver que vous êtes bien le créateur -détenteur de la propriété intellectuelle - de ce graphique. Les filigranes peuvent cependant se perdre en partie, voire devenir illisibles avec des formats graphiques qui compriment avec une perte, comme par exemple le format JPEG employé fréquemment sur la toile. Pour vous informer davantage sur la technique des filigranes, recherchez dans l'un des grands moteurs de recherche connus les termes filigrane ou bien Stéganographie.
Si tout cela ne vous satisfait pas et que vous préférez cependant condamner la touche droite de la souris, alors vous pouvez utiliser 
ce script-ci. Pour comprendre la façon de fonctionner du script, vous devez vous intéresser de près à 
JavaScript et tout particulièrement à la surveillance d'événement.
Ayez pourtant conscience que vous limitez ainsi l'utilisateur: Car le menu contextuel de la touche droite de la souris contient finalement encore d'autres commandes importantes comme par exemple, celle pour ouvrir un lien dans une nouvelle fenêtre. Aucun utilisateur ne désire voir se restreindre son champ d'action, vous non plus ou bien? Et d'autant moins sur une page Web que l'on a appelée de son plein gré et que l'on peut à tout moment quitter pour n'y jamais revenir.
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Il existe différentes possibilités de limiter l'accès à certaines pages Web à certains utilisateurs habilités. Les solutions sont plus ou moins bonnes et sûres.
La méthode la plus courante sur la toile et qui suffit pour des utilisateurs normaux, est celle qui fonctionne au niveau HTTP. Le mécanisme pour le faire est fixé dans le modèle de serveur NCSA et connu sous le mot clé htaccess. De nombreux serveurs Web soutiennent ce mécanisme, par exemple le serveur répandu Apache. Lors du premier accès à un fichier se trouvant dans un répertoire protégé, le navigateur ouvre une fenêtre de dialogue dans laquelle l'utilisateur doit entrer son identification d'utilisateur et son mot de passe. Ce n'est que si les deux mentions sont correctes qu'il peut accéder aux données du répertoire et de ses sous-répertoires. Comment cela fonctionne est décrit dans la partie Protéger des répertoires et des fichiers avec mot de passe.
Un autre moyen choisi fréquemment est de saluer dans un premier temps tous les utilisateurs avec un formulaire, dans lequel ils doivent saisir un mot de passe. Lors de l' envoi du formulaire est alors appelé un script CGI, qui gère les mots de passe et peut vérifier que le mot de passe saisi est bien enregistré. Cela est certes également relativement sûr, mais pas tout à fait aussi efficace que la protection htaccess, parce que quelqu'un qui connaît déjà les adresses "secrètes" peut à tout moment appeler celles-ci directement (et par exemple poser des liens sur celles-ci). Le script CGI n'en sait absolument rien. Il existe sur la toile des scripts gratuiciels, la plupart du temps écrits en Perl et qui réalisent une telle protection par mot de passe. Dans l'offre en ligne de SELFHTML actuel, vous trouverez des liens aux sources correspondantes sur la toile:
Index des liens: CGI/Perl
Index des liens: PHP
Index des liens: ASP
Recherchez dans les collections de scripts le mot clé mot de passe ou bien pour les collections de scripts en anglais le mot password.
Le troisième moyen pour protéger des pages est JavaScript. Ici aussi une page est précédée d'un formulaire avec la possibilité d'entrer un mot de passe. JavaScript vérifie la saisie puis soit refoule le visiteur, soit le mène aux pages secrètes. Une méthode appréciée ici est simplement de réclamer comme mot de passe le nom du fichier "secret" et après l'entrée du mot de passe de passer au fichier mentionné avec location.href . C'est il est vrai, un pur effet placebo. Il y a aussi des JavaScripts qui travaillent avec un véritable algorithme de cryptage qui ne peut pas être lu facilement. Ce script-ci en est un exemple. Utilisez le fichier d'exemple tout d'abord pour entrer des mots de passe de votre choix. Le script vous mène alors à des noms de fichiers qui (n')existent (pas encore)et qui correspondent d'après son algorithme au mot de passe entré. Si vous établissez ensuite des pages avec le nom de fichier correspondant, le script trouve la page correspondante, quand le mot de passe a été entré correctement. Même dans ce cas, le mot de passe et le nom de fichier vont de pair. Un tel procédé ne permet pas de mot de passe spécifique à l'utilisateur. Ce n'est même pas du tout possible en JavaScript, étant donné que JavaScript tourne sur l'ordinateur de l'utilisateur. Une gestion centralisée des utilisateurs n'est possible que du côté serveur.
Les solutions JavaScript sont donc relativement primitives et dont plutôt une solution de secours pour les fournisseurs de pages qui ont leur page d'accueil chez des fournisseurs d'accès bon marché ne disposant ni de htaccess ni même de CGI. Même pour les solutions JavaScript, prévaut ceci: celui qui connaît les noms de fichiers secrets, peut y accéder aussi directement.
Il y a aussi une solution toute simple pour ceux qui ne veulent pas se compliquer la vie: mettez vos pages sur la toile sans y poser de liens et communiquez en l'adresse qu'aux personnes qui doivent pouvoir consulter ces pages. Mettez ces pages de préférence dans un répertoire distinct et fixez ensuite globalement dans fichier robots.txt que les moteurs de recherche ne doivent en aucun cas accéder aux contenus de ce répertoire. Une telle protection n'est pas fiable à cent pour cent, mais plus sûre finalement que tous les essais avec un formulaire avec mot de passe qui indique déjà qu'il y a là quelque chose de "secret". Car ce qu'absolument personne ne sait est de toutes façons plus sûr que ce qui est annoncé ouvertement comme étant secret.
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Non, ni avec JavaScript ni avec CGI/Perl ou technologies similaires. Tous les navigateurs Web modernes l'empêchent. Car si quelque chose de la sorte était possible, chaque script CGI appelé souvent (compteur, moteur de recherche etc...) par exemple pourrait tenir en parallèle une liste d'adresses électroniques. Et les adresses électroniques peuvent se vendre en quantités à des polluposteurs (Spammer), à savoir à cette sorte d'individus qui jour après jour envoient à des adresses électroniques en millions d'exemplaires des prospectus publicitaires ineptes destinés à la poubelle sur la toile et qui encombrent ainsi le réseau.
Ce que vous pouvez rechercher, ce sont les adresses IP du serveur hôte de vos visiteurs de pages. Un script CGI appelé peut par exemple rechercher les données correspondantes avec les variables d'environnement CGI REMOTE_ADDR et REMOTE_HOST e. Par un 
Whois-Service le fournisseur d'accès de la personne correspondante peut alors être recherché et contacté par exemple en cas de soupçons fondés portant sur un utilisateur criminel.
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Ici il existe deux possibilités répandues: à l'aide d'un applet Java incorporé en HTML
, ou bien sous la forme d'un clavardage sur la base de CGI.
Pour les applets Java qui réalisent un clavardage, il faut encore distinguer entre ceux qui utilisent un protocole Internet distinct et spécifique, et ceux qui représentent simplement un client IRC basé sur java. Les applications java qui utilisent un protocole spécifique, comprennent deux parties: l'applet-Java qui est incorporé en HTML (client) et un programme java qui représente un serveur qui lui correspond. Sur la page ?http://java.seite.net/chat/ vous trouverez une description pour réaliser soi-même une telle application client-serveur en java. Si vous ne vous sentez pas en mesure de programmer ce genre de chose vous-même, vous pouvez aussi recourir aux services sur la toile disponibles. Le fournisseur le plus connu pour le clavardage basé sur java avec un système distinct est SpinChat. Là, vous pouvez aussi vous prendre le texte source HTML pour installer votre propre clavardage. Le clavardage fait alors partie du système de connexion du fournisseur Spin.
Les applets Java qui représentent un véritable client IRC, permettent par contre la participation au réseau mondial IRC. Des milliers de salons de clavardage sur de nombreux serveurs IRC différents peuvent ainsi être joints. Recherchez dans un grand moteur de recherche java applet irc client, pour trouver ce genre d'applets Java pour votre propre page d'accueil.
Le clavardage basé sur CGI utilisent la communication entre le navigateur et le serveur par le protocole HTTP. Le protocole HTTP a en effet des propriétés qui ne le destinent pas forcément à des applications de clavardage. À la différence du protocole IRC le client et le serveur ne sont pas en connexion permanente. Une communication n'a lieu que lorsque, par exemple, le navigateur réclame des données du serveur. La plupart des clavardages basés sur CGI insèrent pour cette raison dans le code HTML envoyé au navigateur, la mention Meta pour faire suivre automatiquement à une autre adresse , pour appeler à nouveau après quelques secondes le script CGI de traitement qui envoie alors à nouveau l'"état" actuel su salon de clavardage au navigateur, y compris la mention Meta insérée pour l'appel suivant. Un clavardage en temps réel comme chez IRC n'est ainsi pas possible. Un avantage du clavardage basé sur CGI est cependant que aucune condition préalable supplémentaire telle l'activation Java, n'est nécessaire. Sur l'offre en ligne de SELFHTML actuel, cous trouverez des liens à des collections de scripts CGI sur la toile où vous trouverez également entre autres, des clavardages basés sur CGI:
Recherchez dans les collections de scripts le mot-clé anglais Chat.
Pour le fonctionnement d'un clavardage basé sur CGI/Perl vous avez besoin d'une interface CGI et interpréteur Perl . Demandez le, le cas échéant au fournisseur d'accès qui héberge vos pages!
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Les livres de visites ou les forums sont des applications typiques réalisées à l'aide de CGI/Perl ou PHP.
La variante la plus séduisante mais aussi la plus difficile est de programmer de toutes pièces sa propre solution. Pour le faire cependant, des connaissances bonnes voire excellentes dans des langages de programmation comme Perl ou PHP sont indispensables.
La deuxième possibilité, une variante édulcorée de la première, est celle de mettre en place u script existant et de l'adapter. Il existe de nombreux scripts disponibles gratuitement et que vous pouvez télécharger et adapter à vos besoins. Ici aussi cependant sont nécessaires au moins les connaissances de base du langage de programmation utilisé. Sur l'offre en ligne de SELFHTML actuel, vous trouverez des liens à des collections de scripts CGI sur la toile où vous trouverez également entre autres, des forums et livres de visites basés sur CGI:
Recherchez dans le collections de scripts les mots-clés livre de visite ou livre d'or (et dans les collections de scripts en langue anglaise guestbook) ou Forum ou message board.
Pour le fonctionnement d'un livre de visites ou d'un forum basé sur CGI/Perl vous avez besoin d'une interface CGI et d'un interpréteur Perl et pour PHP que PHP soit installé sur le serveur. Demandez le, le cas échéant au fournisseur d'accès qui héberge vos pages!
Pour la troisième possibilité entrent en lice les services CGI pour vos pages Web dynamiques personnelles. Ici vous pouvez faire appel gratuitement ou moyennant une redevance modique au forum ou au livre de visites d'un fournisseur étranger. La plupart du temps, la possibilité est offerte ici d'adapter tout au moins à peu près l'aspect du livre de visites ou du forum à la mise en page de ses propres pages. Les données sont sauvegardées sur le serveur du fournisseur étranger. Vous n'y avez donc vous même aucun accès direct. En règle générale, ces fournisseurs proposent cependant un espace de support où vous pouvez gérer vos données à l'aide de formulaires sur le serveur étranger par exemple pour effacer des enregistrements indésirables etc...
Cette solution est appropriée pour les fournisseurs de page d'accueil qui ne disposent pas d'interface CGI.
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Avant tout: sur la toile, tout ce que l'utilisateur ne contrôle pas lui même a un côté négatif. Ici vous devez plutôt pour cette raison, renoncer à ce genre de chose et à la place proposer une visite guidée, avec laquelle chaque page faisant partie de la visite contient à la fin, un lien à la page suivante ainsi qu'un lien à la page de départ. Les présentations de plusieurs pages au déroulement automatique sont intéressantes par contre dans les foires par exemple. Là vous pouvez créer des boucles sans fin tout simplement en faisant rappeler la première page par la dernière page de la présentation.
Pour établir une telle présentation vous avez besoin de différents fichiers HTML dont chacun contient un mécanisme à l'aide duquel une autre page déterminée est appelée automatiquement après un certain laps de temps par exemple 5 secondes. Vous disposez ici de deux possibilités: pour l'une, utilisez une mention Meta pour faire suivre automatiquement à une autre adresse . Cette mention est aussi interprétée localement par les navigateurs répandus, donc sans communication serveur. La deuxième possibilité utilise JavaScript. Avec la méthode JavaScript setTimeout() en relation avec le gestionnaire d'événement onLoad dans le repère d'ouverture <body>, vous pouvez après un laps de temps de 5000 Millièmes de seconde par exemple (= 5 Secondes) appeler une fonction écrite vous-même et qui peut figurer par exemple dans un passage JavaScript de l'entête de fichier. Il suffit que cette fonction contienne une seule instruction, à savoir l'appel d'une autre adresse avec la propriété objet location.href.
Chacun des fichiers faisant partie de la présentation doit contenir ls mention Meta ou le code JavaScript correspondant. De cette manière est créée l'enchaînement d'appels automatiques.
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Ici existent les mêmes possibilités que celles décrites pour la présentation de plusieurs pages au déroulement automatique. La seule différence est qu'il ne vous faut noter les mentions que sur une seule page et non pas sur plusieurs. Proposez néanmoins dans tous les cas sur la page de re-direction un lien à l'adresse-cible afin que même les utilisateurs chez lesquels la mention Meta ou le JavaScript de re-direction ne fonctionnent pas puissent s'y rendre.
Pour la re-direction automatique, il existe en outre bien sûr des solutions côté serveur qui sont en fin de compte plus propres. Car d'abord elles n'exigent pas de capacités du navigateur comme l'interprétation d'une mention Meta ou d'un JavaScript et ensuite, la page de re-direction ne doit pas du tout être affichée. À l'écran de l'utilisateur c'est l'adresse-cible qui apparaît sans détours.
Ainsi des re-directions à l'intérieur d'une offre Web et sur le même serveur peuvent-elles 1tre atteintes par exemple par des liens symboliques. À la place du "vieux" fichier un lien symbolique du même nom est placé qui mène à un autre fichier au niveau du système d'exploitation. Pour ce faire, vous devez bien sûr pouvoir travailler au niveau du système d'exploitation sur le serveur, par exemple avec Telnet/SSH.
Des re-directions côté serveur à d'autres adresse de domaine peuvent être réalisées à l'aide d'un fichier .htaccess. Placez dans le répertoire racine de vos pages Web de l'ancien domaine un tel fichier qui contient une ligne de ce genre (exemple):
Redirect / http://www.autre-adresse.fr/
Dans l'exemple les demandes pour le domaine actuel sont détournées sur http://www.autre-adresse.fr/
Si vous ne voulez pas vous risquer à de telles chose ou que la solution avec .htaccess ne fonctionne pas chez vous, demandez au fournisseur d'accès de l'ancienne adresse. Il peut aménager pour vous une re-direction côté serveur.
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À cet effet, il existe différentes possibilités:
Cadres incorporés
Une méthode très pratique. Vous pouvez grâce à elle incorporer outre d'autres fichiers HTML, également des fichiers pur texte *.txt, des graphiques ou des sources dynamiques comme l'appel d'un script CGI qui sort des données actuelles.
Par la mention frameborder="no" dans le repère d'ouverture <iframe> vous pouvez obtenir que la fenêtre-cadre soit incorporée dans la page sans couture visible. Avec scrolling="no" vous pouvez également en plus empêcher les barres de défilement, dans la mesure ou vous n'en avez pas besoin. L'inconvénient des cadres incorporés est qu'ils ne sont pas encore connus par Netscape 4.x.
Incorporer des fichiers de données comme objet
Également très pratique et simple. Avec data="fichier.htm" ou bien data="fichier.txt" des fichiers texte peuvent aussi être incorporés comme objet. Pour type= il faut alors mentionner text/html ou bien text/plain. En fin de compte l'effet est tout à fait semblable à celui des cadres incorporés mais ici aussi on rencontre des difficultés avec le navigateur Netscape.
Liaison de données (Microsoft)
Cette solution permet incorporer des données de façon contrôlée par exemple enregistrement par enregistrement à partir d'un fichier séparé par des virgules. Mais ne fonctionne pas non plus avec Netscape.
Server Side Includes
Grâce à eux des données externes peuvent être incorporées côté serveur. cela présente l'avantage de fonctionner avec tous les navigateurs, étant donné que les données sont dījà incorporées avant que tout n'arrive au navigateur. Cela ne fonctionne cependant que dans un environnement HTTP et à la seule condition que le serveur Web soutienne la technique des Server Side Includes.
PHP
Avec PHP des données externes peuvent être incorporées très facilement étant donné que PHP est noté à l'intérieur même de HTML. De façon similaire aux Server Side Includes PHP fonctionne aussi avec tous les navigateurs étant donné que les données sont insérées côté serveur. Cela fonctionne cependant de même en environnement HTTP et uniquement aussi dans la mesure où PHP est installé et soutenu par le serveur Web. Avec une instruction PHP telle que require ('fichier.txt'); vous pouvez incorporer un fichier texte externe.
JavaScript et Java
À vrai dire, il n'est pas possible de lire des fichiers avec JavaScript. Par l'interface Java de JavaScript, cela est cependant possible en empruntant certains détours. De cette façon non plus, il n'es pas possible de lire des fichiers sur l'ordinateur de l'utilisateur mais tout au moins des fichiers faisant partie du projet Web et c'est ce dont il est question ici. Sur ce thème, il y a dans l'offre en ligne de SELFHTML actuel un article spécialisé:
Accéder à des fichiers avec JavaScript de Daniel Thoma.
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Pour cela ouvrez une nouvelle fenêtre avec JavaScript et cela avec window.open(). Dans les options pour le faire mentionnez fullscreen=yes. Suite à quoi, la fenêtre est ouverte en mode plein écran. Veillez cependant pour l'Explorer Internet MS que ce navigateur n'offre plus ensuite de possibilité de fermer la fenêtre. Seul ALT+F4 fonctionne encore. Proposez donc pour ces pages affichées en mode plein écran, une possibilité de fermer la fenêtre. Cela marche par exemple comme ceci:
<a href="javascript:self.close()">Fermer la fenêtre</a>
Ne perdez cependant pas de vue que la plupart des utilisateurs trouvent très désagréable qu'une page Web s'ouvre en mode plein écran sans qu'ils l'aient demandé.
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La réponse coule de source: pour toutes les résolutions d'écran! Quand vous créez un flux de texte tout à fait normal en HTML et que vous désirez aussi le formater avec des feuilles de style CSS, écrivez d'abord pour toute résolution d'écran quelle qu'elle soit. Car le navigateur fait passer automatiquement le texte à la ligne selon la taille de la fenêtre. Les problèmes n'apparaissent que lorsque, dès le départ, il est travaillé avec des tableaux comme moyen pour la présentation ou bien avec des cadres et que pour le faire, des largeurs fixes sont imposées avec des mentions en pixels.
Ne perdez pas de vue que la résolution de l'écran et la taille de la fenêtre du navigateur n'ont pas forcément grand chose à voir. Car les utilisateurs avec des résolutions d'écran élevées comme 1600x1200 ne travaillent en mode plein écran avec pour ainsi dire aucune application fût-ce le navigateur. Ce qui veut dire que la fenêtre du navigateur y a la plupart du temps une taille très aléatoire et tout à fait imprévisible. Pour les utilisateurs avec des résolutions d'écran plus faibles comme 800x600 ou même 1024x768 il est certes plus vraisemblable que le navigateur tourne en mode plein écran. Cependant beaucoup d'utilisateurs ont des programmes ouverts qui sont positionnés fixement sur les bords de la surface d'affichage, comme par exemple l'Instant Messenger ICQ fort apprécié ou bien par exemple est affichée dans le navigateur à gauche une fenêtre de navigation avec les favoris.
De ce point de vue, il est donc contre-indiqué de faire dépendre la mise en page d'une certaine résolution d'écran. La question est mal posée. Efforcez vous simplement de faire une mise en page qui s'accorde particulièrement dans la largeur aux exigences. Pour des tableaux comme moyen pour la présentation, cela est possible par exemple avec des mentions de largeur en pourcentage plutôt qu'en pixels. Quand vous voulez imposer des largeurs fixes, ne le faites donc alors que pour la première colonne de gauche d'un tableau ou d'un cadre. Vous pouvez déjà compter avec une largeur de quelques centaines de pixels, car il y a aussi à un certain point un plancher de la commodité - une page Web sur l'écran d'un téléphone portable est un non-sens ergonomique. Quand donc vous imposez à gauche une certaine largeur en laissant libre le reste de la largeur donnée, il n'y a rien à redire. Pour les barres de navigation placées à gauche, ne doivent pas bien sûr être consacrés beaucoup plus de 200 à 250 pixels de largeur imposée, sinon le contenu proprement dit pourrait pour une faible largeur d'affichage être par trop comprimé dans l'étroite colonne restant à disposition. Pour des mises en page sur deux colonnes ou plus, aucune colonne en tout cas ne doit avoir de largeur fixe, mais rester variable.
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Avec cette question vous ferez moisson d'indignation - même parmi ceux qui trouvent sinon eux-mêmes les bannières publicitaires comme étant pénibles. La raison est simplement que vous n'en avez pas le droit. Vous faites appel à un service gratuit. Pour cela vous ne pouvez pas avoir la même chose que pour de l'argent. Les fournisseurs gratuits de pages d'accueil se financent fréquemment par la publicité donc vous priveriez un tel fournisseur de sa source de revenus, si vous empêchiez les bannières publicitaires. Il n'y a pas non plus la moindre possibilité d'empêcher ces bannières ou les programmes en mode fenêtre parce qu'ils sont inséré côté serveur avant que la page Web ne soit transmise au navigateur.
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Vous avez vraisemblablement créé vos pages Web et vos graphiques sous un système d'exploitation comme Windows MS pour lequel peu importe que les noms de fichiers soient en majuscules ou en minuscules. Sur des systèmes d'exploitation typiques de serveur comme Linux par contre, la distinction entre les minuscules et les majuscules, est faite de façon très sévère. Quand donc vous avez noté par exemple <a href="fichier.htm"> et que le fichier s'appelle en vérité fichier.htm, alors, le lien fonctionne sous Windows, mais il ne fonctionne pas sous Linux. Il en va de même pour les références de graphiques et autres références à des fichiers externes. Pour cette raison, veillez bien dès la création des fichiers, à les sauvegarder exactement de la même façon que vous les mentionnez dans les références. Le plus sûr est de tout écrire en minuscules - donc aussi bien tous les noms de fichiers attribués que les références correspondantes en HTML, CSS ou JavaScript. Malheureusement il y a encore quelques programmes Windows plus anciens qui ne s'y tiennent pas et qui par exemple transforment toujours la première lettre du nom de fichier en majuscule. Assurez vous encore pour cette raison, que les noms de fichiers coïncident bien avec les références, et renommez les noms de fichiers écrits autrement le cas échéant. La même chose s'applique aussi aux noms de répertoire, au cas où dans votre projet Web, vous travaillez avec des sous-répertoires.
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Pour ce souhait, il vous faut d'abord vous poser la question inverse, à savoir qu'est-ce qui vous dérange tellement à l'idée que les utilisateurs voient les noms de fichiers que vous avez attribués? C'est quelque chose de tout à fait normal et chaque utilisateur sur le Web y est habitué. Malheureusement, c'est ici encore un cas typique où une fonction du navigateur ressentie comme utile par de nombreux utilisateurs doit être empêchée à cause d'une idée de contrainte. Renoncez donc plutôt à cette idée de contrainte.
La réponse concrète à cette question est d'utiliser des cadres. Quand comme page de départ, vous chargez tout de suite un jeu de cadres, l'adresse de la page appelé tout d'abord reste dans la ligne d'adresse du navigateur pendant le navigation dans le jeu de cadres.
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Vous pouvez empêcher ceci en notant dans le lien:
<a href="cible.htm" onFocus="if(document.all) this.blur()">texte</a>
Pensez cependant que vous retirez ainsi la possibilité pour l'utilisateur de se positionner sur ce lien avec la touche de tabulation et de l'exécuter ensuite avec la touche de validation "Entrée". Il n'existe par contre guère d'utilisateurs qui trouvent cette bordure en pointillés inesthétique ou comme nuisant à la présentation. Ne sacrifiez pas inutilement les possibilités de navigation de l'utilisateur à l'idée de contrainte d'une apparence sans défaut de vos pages Web!
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Cela fonctionne avec l'aide des feuilles de style CSS et est décrit dans la partie mettre en forme l'aspect des liens avec les CSS.
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Pour ce faire notez target="_blank" dans le repère d'ouverture du lien en plus de l'attribut href. Ceci est décrit dans la partie fixer la fenêtre cible pour les liens. Vous ne pouvez pas, il est vrai influencer la taille de la nouvelle fenêtre. Au cas où vous le voulez, par exemple parce que la nouvelle fenêtre doit apparaître comme petit programme en mode fenêtre, il vous faut alors travailler avec JavaScript, et cela avec la méthode window.open(). Ce faisant, vous pouvez fixer différentes options pour la taille et l'apparence de la fenêtre. Cet exemple-ci montre un fichier HTML avec un lien qui lorsqu'on le clique, ouvre un petit programme en mode fenêtre avec un autre fichier.
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Avec Netscape à partir de la version 6.0 l'effet hover avec les CSS fonctionne exactement comme avec l'Explorer Internet. Le problème ne se pose que pour les versions plus anciennes de Netscape. Tout au moins pour Netscape 4.x une solution certes quelque peu compliquée, peut être programmée en JavaScript . Dans l'offre en ligne de SELFHTML actuel un article spécialisé présente cette possibilité:
Positionnement de layer (DHTML) de Andreas Zierhut, partie concernant "a:hover" dans le navigateur Netscape.
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Pour les effets Hover cela dépend de l'ordre dans lequel sont notés les pseudo-formats pour les liens correspondants. Essayez l'ordre suivant:
a:link { /* Formats */ }
a:visited { /* Formats */ }
a:hover = { /* Formats */ }
a:active = { /* Formats */ }
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Ceci ne peut pas être résolu avec HTML - c'est la raison pour laquelle des débutants recherchent souvent au mauvais endroit et posent ensuite volontiers la question correspondante dans les forums et les groupes de nouvelles où la question suscite cependant la plupart du temps des réactions agacées. Pour modifier avec un lien le contenu de deux autres fenêtres-cadres, un JavaScript est indispensable. Un tel script est présenté dans la partie Changer simultanément deux cadres.
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Pour cela il vous faut définir un bouton pouvant être cliqué. Dans le repère d'introduction du bouton, notez le gestionnaire d'événement onClick. Affectez comme valeur à ce gestionnaire d'événement la propriété d'objet location.href, à laquelle vous affectez à son tour - entre apostrophes - la cible désirée du lien. La construction ressemble alors à ceci par exemple:
<form name="formulaire">
<input type="button" name="lien" value="texte du lien" onClick="location.href='../index.htm'">
</form>
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À l'aide d'un JavaScript des listes de choix peuvent être transformées de telle façon qu'elles font office de listes de liens. La SELFHTML Quickbar est une telle application. Comment cela fonctionne exactement est décrit dans le chapitre sur Javascript dans l'exemple d'application liste de liens comme liste de choix.
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Pour ceci un petit bout de code JavaScript dans le lien est indispensable. Le lien ressemble à ça:
<a href="javascript:history.back()">texte du lien</a>
Pour cela est noté pour l'attribut href le pseudo-protocole javascript:. À la suite peut y être noter du code JavaScript. Dans le cas présent la fonction page précédente du navigateur est appelée à l'aide de la méthode history.back().
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Pour cela, notez simplement un lien normal. À la place du texte du lien, donc comme contenu entre le repère d'ouverture <a href=> et le repère de fermeture </a>, notez une référence de graphique. Le tout est encore décrit dans la partie sur les graphiques en tant que liens.
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Pour cela, vous avez d'abord besoin de graphiques du même genre qui représentent une surface pour déclencher. Dans la partie sur les boutons (surfaces pour déclencher)
vous trouverez des exemples pour de tels graphiques. Vous pouvez travailler les boutons de telle façon avec un programme graphique approprié que chaque bouton reçoive sa propre inscription, donc par exemple Accueil, Infos, Contact, Livre de visites etc... Sauvegardez les graphiques de préférence sous un nom de fichier qui permette de reconnaître la série, par exemple btn_accueil.gif, btn_infos.gif, btn_contact.gif, btn_livrevisites.gif. Incorporez ensuite les boutons ainsi créés dans un fichier HTML de telle façon qu'ils créent un effet de barre de navigation. On emploie souvent à cet effet les tableaux comme moyen pour la présentation de pages Web. Une autre possibilité de mettre en œuvre ce genre de barre de navigation est offerte par les cadres. Une fenêtre-cadre peut alors contenir la barre de navigation tandis que l'autre affiche les informations.
Pour positionner les graphiques de boutons juste les uns sous les autres, il suffit de noter un passage à la ligne entre chaque graphique. Exemple:
<p><a href="index.htm"><img src="btn_accueil.gif" alt="accueil" border="0"></a><br>
<a href="infos.htm"><img src="btn_infos.gif" alt="Infos"; border="0"></a><br>
<a href="contact.htm"><img src="btn_kontakt.gif" alt="contact"; border="?0"></a><br>
<a href="livrevisites.htm"><img src="btn_livrevisites.gif" alt="livre de visites"; border="0"></a></p>
Pour positionner les graphiques de boutons les uns à côté des autres sans raccord, vous ne devez noter aucun espace ni passage à la ligneentre les repères <img> - ceux-ci doivent coller les uns aux autres.
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Cela marche avec les feuilles de style CSS. Pour cela définissez différentes classes globales pour les liens. Cela pourrait donner ceci:
<style type="text/css">
<!--
a.type_1:link { color:#FF0000; }
a.type_2:link { color:#FF00FF; }
a.type_1:visited { color:#990000; }
a.type_2:visited { color:#990099; }
a.type_1:active { color:#000000; }
a.type_2:active { color:#000000; }
-->
</style>
Ici type_1 et type_2 sont les noms de classe. La syntaxe avec les deux points est celle pour les pseudo-formats. En HTML vous pouvez alors adresser les différentes classes avec l'attribut class:
<a class="type_1" href="...">lien</a>
<a class="type_2" href="...">lien</a>
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Cela marche avec JavaScript et la méthode window.status. Là vous trouverez aussi un exemple pour les liens qui génèrent leur propre texte dans la ligne d'état lorsqu'ils sont parcourus par la souris. Ne perdez cependant pas de vue que cette propriété ne fait pas l'unanimité chez les utilisateurs. Beaucoup d'utilisateurs préfèrent vois dans la ligne d'état l'information habituelle, à savoir l'URI de la cible reliée au lien.
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Quand vous posez un lien à un fichier exécutable comme notepad.exe ou winword.exe, le navigateur proposera toujours de télécharger ce fichier, mais ne l'exécutera certainement pas. La raison en est que le navigateur Web ainsi que HTML sont prévus pour une utilisation Client-Server sur Internet mais non pas pour l'environnement local de l'ordinateur sans présenter d'inconvénient. Car si notepad.exe était exécutable, alors format.com serait également exécutable et un lien serait en mesure de formater votre disque dur.
Vous pouvez très bien cependant poser des liens à des fichiers de votre choix. Quand par exemple vous posez un lien à un fichier .doc, Word MS sera ouvert, dans la mesure où le programme est installé et que les fichiers avec cette extension soient bien reliés avec le programme.
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En HTML vous pouvez aligner les titres, aligner les paragraphes de texte, aligner des passages de texte et aligner des cellules. Pour le faire utilisez dans tous les cas l'attribut align=. Avec align="justify" vous imposez la justification. Ne perdez pas de vue néanmoins que l'attribut align de HTML est classé en cours d'abandon et qu'il doit à l'avenir disparaître du standard HTML. À la place existe la propriété CSS text-align, à laquelle de la même façon vous pouvez affecter la valeur justify pour la justification.
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Pour la justification, cela peut donner avant tout avec Netscape des déformations inesthétiques pour les lignes courtes. Pour l'éviter, vous devez dans tous les cas terminer chaque paragraphe de texte introduit par exemple avec <p> avec le repère de fermeture </p>. Quand cette déformation indésirable apparaît après un simple passage à la ligne avec (<br>), un simple passage à la ligne placé avant <br> peut résoudre le problème(mais pas cependant de ).
Étant donné que les navigateurs répandus aujourd'hui n'appliquent pas la séparation de syllabes automatique dans le flux de texte Il peut arriver qu'avec la justification on trouve des espaces plus importants entre les mots. Évitez pour cette raison la justification pour des colonnes de tableau étroites. Plus le texte à justifier est large, plus les passages à la ligne seront nets.
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Pour ne mettre en retrait que la première ligne d'un paragraphe de plusieurs lignes, vous pouvez utiliser la propriété CSS text-indent. Quand par contre vous désirez mettre tout le paragraphe en retrait il vous faut pour cela définir une marge gauche. Cela marche aussi avec les CSS - à savoir avec la propriété margin-left.
Veuillez éviter d'employer pour mettre en retrait, les éléments HTML blockquote ou bien ul, comme on le faisait volontiers dans le temps et comme il est quelquefois encore toujours recommandé. Premièrement c'est un mauvais style, deuxièmement il n'existe aucune garantie que ces éléments soient bien représentés en retrait par tous les navigateurs et troisièmement vous ne pouvez pas par ce moyen fixer quelle taille le retrait du texte doit avoir.
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Dans la conception de HTML les tabulations ne sont pas prévues. Entre temps il existe la possibilité suivante avec l'aide des feuilles de style CSS - exemple:
<p>Texte<span style="white-space:pre">	</span>Texte</p>
Ici est créée une tabulation au milieu du texte avec l'aide de l' élément incorporé commun span, de la propriété CSS white-space avec l'affectation pre et de la notation numérique 	 pour le caractère de contrôle de tabulation. Cette construction n'est interprétée jusqu'alors, il est vrai que par Netscape 6.x.
Il est plus propre sans doute dans ces cas là, de travailler avec des tableaux sans quadrillage , donc avec des tableaux avec l'attribut border="0". Pour créer un espace entre les colonnes, vous pouvez prédéfinir des colonnes en en mentionnant les largeurs avec width=, ou bien vous employez dans les cellules du tableau des mentions de largeur.
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À partir de HTML 4.0 vous pouvez noter tous les signes du système Unicode. De cette façon, vous pouvez noter pratiquement tous les signes connus dans le monde. Pour insérer quelques caractères étrangers, vous pouvez noter ces signes avec leur valeur Unicode numérique. Comment cela fonctionne, est décrit dans la référence HTML pour les caractères (Partie "généralités"). Là dans la référence pour les caractères vous trouverez également de signes nommés comme Π ou €, que vous pouvez aussi employer.
Quand vous créez un fichier HTML complet dans une langue qui utilise un alphabet différent, vous devez alors noter dans l'entête du fichier HTML une mention du jeu de caractères par défaut. Réglez alors aussi avec ce jeu de caractères le programme avec lequel vous créez le texte. Le navigateur essaie alors d'interpréter les valeurs de caractères sauvegardées dans le fichier HTML d'après le jeu de caractères mentionné.
Afin que les caractères de l'alphabet étranger puissent être affichés, les polices qui peuvent afficher de tels caractères doivent être installées chez l'utilisateur.
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Pour ce faire, JavaScript est indispensable. De plus, vous avez besoin à chaque fois de deux variantes du graphique. L'effet provient ensuite du fait que lors du passage de la souris sur un graphique, ce graphique est remplacé de façon dynamique par le "graphique frère". Si la souris s'éloigne à nouveau, c'est à nouveau le graphique normal qui est affiché à la place. Dans l'exemple d'application JavaScript sur les boutons graphiques dynamiques il est décrit précisément comment vous pouvez réaliser cela.
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Pour le faire, vous pouvez noter un tableau, qui prend aussi bien 100% de la largeur disponible que 100% de la hauteur disponible, et qui ne comprend qu'une seule et unique cellule de tableau dont vous alignez horizontalement le contenu au centre et verticalement au milieu. Cela ressemble à ceci:
<body>
<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0"
width="100%" height="100%">
<tr><td align="?center" valign="middle">
<h1>Bienvenue au centre!</h1>
</td></tr></table>
</body>
Cette solution n'a qu'un défaut esthétique: avec les mentions de largeur et hauteur de colonnes pour les tableaux, l'attribut height= selon le standard HTML n'est pas permis en relation avec l'élément table. C'est cependant exactement ce qui est montré dans l'exemple et qui est interprété sans problème par presque tous les navigateurs. Vous pouvez certes éviter ce problème en travaillant avec les CSS et notant à la place de height="100%" la mention style="height:100%". Pourtant au moins Netscape 4.x ne l'interprète pas.
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Pou cela, il vous faut créer un "tableau" de trois fenêtres-cadre sur trois, dans lequel seule la fenêtre qui est dans la deuxième rangée et dans la deuxième colonne aura un contenu. Le jeu de cadres pour le faire ressemble par exemple à ceci:
<frameset cols="*,66%,*" rows="*,66%,*" frameborder="0" framespacing="0" border="0">
<frame><frame><frame>
<frame><frame src="fichier.htm" name="contenu"><frame>
<frame><frame><frame>
</frameset>
Ne perdez cependant pas de vue que les attributs pour imposer des bordures de fenêtre invisibles, tels qu'ils sont notés dans l'exemple ne sont pas permis d'après le standard HTML, mais sont cependant indispensables pour atteindre l'effet désiré avec les navigateurs.
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Quand le poids de police des contenus des cellules est très différent d'une cellule à l'autre, ou quand les contenus des cellules de tableau ne remplissent pas une colonne dans la largeur mentionnée, il peut arriver, selon le navigateur, que l'on obtienne des représentations inesthétiques dues aux interprétations différentes de l'attibut width= pout les mentions pour les largeur et hauteur de colonnes pour les tableaux.
Entre-temps, il existe une propriété CSS avec laquelle certaines largeurs de colonnes peuvent être imposées, à savoir la propriété table-layout. Celle-ci est bien interprétée par les navigateurs les plus récents mais elle est ignorée par les navigateurs de la quatrième génération. C'est pourquoi dans la pratique on travaille encore toujours beaucoup avec ce qu'on appelle les pixels invisibles, pour imposer des largeurs minimales. Cela ne correspond certes pas précisément à la philosophie de HTML, mais montre bien que dans la pratique des problèmes existent qui tout au moins dans les anciennes générations de navigateurs ne pouvaient être résolus que par ces artifices.
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Netscape interprète jusqu'à la version 4.x les mentions en pixels pour la largeur et la hauteur de cadres avec la définition de jeux de cadres. Les expériences d'utilisateurs font état d'une différence de 10-15 pixels par rapport à la largeur de fenêtre fixée. D'après une théorie en cours, Netscape se comporterait de la façon suivante:
Il ne travaille pas avec des valeurs de pixels absolues mais partage la place restant à disposition horizontalement comme verticalement en 100 parties de 1 pour cent. Netscape n'accepte donc comme taille du cadre pratiquement que des valeurs en pourcentage et transforme en interne les valeurs en pixels en pourcentage. Pour une résolution d'écran par exemple de 800 x 600 pixels (ici il faut déduire environ 4 pixels pour la marge, raison pour laquelle il reste pour la largeur environ 796 pixels), on obtient alors par exemple:
jeu de cadres 10% = 10 x 7,96 => largeur du cadre = 79 pixels
jeu de cadres 11% = 11 x 7,96 => largeur du cadre = 87 pixels
jeu de cadres 12% = 12 x 7,96 => largeur du cadre = 95 pixels
La taille effective est alors encore environ plus étroite d'un pixel. Les mentions intermédiaires donc par exemple 90 pixels donnent alors une largeur effective de 86 ou 94 pixels.
Il n'existe aucune possibilité connue pour déjouer ceci. Ainsi il ne reste que la possibilité de structurer la mise en page des fichiers HTML qui doivent être affichés dans une telle fenêtre-cadre, de telle façon qu'un certain jeu tant en largeur qu'en hauteur d'affichage empêche que la mise en page ne soit perturbée. À vrai dire, cela doit s'appliquer de toutes façons comme règle de base dans la conception Web. Les contenus, par exemples des graphiques, doivent dans tous les cas être plus petits de 10-15 pixels que les mentions de largeur ou de hauteur de la fenêtre-cadre qui les reçoit. Ce n'est qu'ainsi qu'on a la certitude qu'il sont affichés complètement.
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Pour cela les marges de page sont définies plusieurs fois en HTML où toutes es mentions se voient affecter la valeur 0. Étant donné cependant ce n'est cependant pas conforme au standard HTML, il vaut mieux pour le faire, utiliser les feuilles de style CSS. Le plus simple est de fixer simplement globalement sur 0 pixel les Marges et espace de l'élément body. Pour le faire notez simplement:
<body style="margin:0px">
Malheureusement, cela n'est pas encore interprété correctement par Netscape 4.x. Il est préférable pour cette raison de positionner de façon absolue tout le contenu visible du fichier HTML. Ceci est possible à l'aide d'un élément de bloc commun et des propriétés CSS pour le positionnement. Le corps du fichier ressemble alors par exemple à ceci:
<body>
<div style="position:absolute; top:0px; left:0px;">
Noter ici tout le contenu visible de la page
</div>
</body>
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Pour Netscape 4.x les CSS sont couplées en interne à JavaScript, aussi étrange que cela puisse paraître. Car en interne, Netscape 4.x transforme les CSS avec l'aide d'une extension JavaScript spéciale appelée JSSS (JavaScript StyleSheets). Cela signifie que dans ce navigateur aucune feuille de style CSS ne sera affichée si dans les réglages du navigateur JavaScript est désactivé. Quand donc pas la moindre feuille de style n'est interprétée dans le navigateur Netscape-4.x, cela est en principe dû au fait que JavaScript est éteint. Malheureusement, vous ne pouvez pas faire grand chose là contre en tant qu'auteur Web, car quand un utilisateur ne désire aucun JavaScript, il a bien le droit de le désactiver.
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La cause la plus vraisemblable en est des erreurs de syntaxe pour définir les formats CSS. Celui qui est habitué à HTML, est plus exposé aux faute d'inattention. Une erreur courante est par exemple de noter pour l'affectation de valeur à une propriété CSS un signe égal à la place des deux points.
Erroné par exemple serait donc: h1 { color=red }
Correct serait par contre: h1 { color:red }
Même des points virgules oubliés conduisent à des interprétations erronées.
Erroné par exemple serait donc: h1 { color:red background-color:yellow }
Correct serait par contre: h1 { color:red; background-color:yellow }
Étant donné que les navigateurs ne génèrent pas de message d'erreur pour les fautes de syntaxe pour les CSS, ces erreurs ne sont souvent pas détectées et ne se remarquent que sous la forme d'interprétations erronées. C'est pourquoi, vous devez toujours vérifier exactement la syntaxe de vos définitions de formats CSS.
Vous pouvez faire vérifier l'exactitude de vos définitions de format en ligne en ce qui concerne l'exactitude de la syntaxe. Pour le faire existe le //
service de validation CSS du W3C.
En particulier les versions intermédiaires anciennes de Netscape 4.x ont des problèmes avec les espaces entre la propriété CSS et l'affectation de valeur. Ne notez pas pour cette raison - bien que ce soit permis,
ceci: h1 { color: red }
mais au contraire: h1 { color:red }
En général Netscape 4.x connaît encore d'énormes problèmes avec de nombreuses propriétés CSS. Certains de ces problèmes peuvent être surmontés par des artifices, mais beaucoup d'autres ne le peuvent pas.
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Avec l'aide de la méthode JavaScript window.resizeTo() vous pouvez modifier la fenêtre du navigateur à la taille que vous désirez. Dans l'exemple de la méthode window.resizeTo() il est décrit comment vous obtenez que la fenêtre du navigateur prenne la taille désirée après lecture de la page.
Ne perdez pas de vue cependant que nombre d'utilisateurs le ressentent comme une entorse à leur liberté. Un projet Web qui dès la page d'accueil modifie la fenêtre du navigateur de l'utilisateur, crée de suite une impression négative chez les visiteurs qui visitent le projet pour la première fois et conduit vraisemblablement dans de nombreux cas à ce que les utilisateurs tournent les talons immédiatement.
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Avec l'aide de la méthode JavaScript window.open() vous pouvez créer une nouvelle fenêtre (Popup). Pour le faire, vous pouvez aussi mentionner différentes options pour son équipement, sa taille et sa position. Il existe différentes possibilités d'appeler ce genre de fenêtre. L'une d'elles est d'ouvrir tout de suite la fenêtre popup à la lecture de la page principale. Une autre possibilité est de proposer un lien pour ouvrir une nouvelle fenêtre.
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Pour des nouvelles fenêtres (popup) que vous créez, vous pouvez faire en sorte qu'elles ne soient pas recouvertes par la fenêtre principale. Il n'y a certes pas dans le JavaScript normal de possibilité de donner à une fenêtre la propriété "toujours au premier-plan" à son ouverture (seulement avec Comment puis-je obtenir qu'une fenêtre reste toujours au premier-plan JScript de Microsoft et signed JavaScript il existe ce genre de chose), cependant avec un petit détour ce genre d'effet peut être atteint. Pour cela un JavaScript est noté dans l'entête de fichier des fichiers qui doivent être affichés dans la nouvelle fenêtre. Ce JavaScript donnerait:
<script type="text/javascript">
<!--
function toujours_devant() {
self.focus();
window.setTimeout("toujours_devant()",100);
}
//-->
</script>
Dans le repère d'ouverture <body> est noté en outre:
<body onLoad="toujours_devant()">
La fonction toujours_devant() que vous avez écrite place ici avec la méthode focus() la zone de saisie active sur la fenêtre en question - et cela tous les 100 millièmes de seconde donc tous les dixièmes de seconde. Pour cela la fonction se rappelle elle-même avec setTimeout() après le laps de temps correspondant (récursivité). Par le gestionnaire d'événement onLoad elle est appelée une première fois après le chargement de la page.
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Comment commencer?
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Lexique
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| SELFHTML Aides à la navigation |
© 2001 Stefan Münz / © 2003 Traduction 
Serge François, 13405@free.fr selfhtml@fr.selfhtml.org